
Je peux lire ton nom dans les feuilles d’automne,
qui me contemplent de leur éclat châtoyant,
pas encore fâné, plus tout à fait vivant,
feuilles oranges jaunies par les jours qui s’en vont.
Elles sont comme autant de regards posés,
et semblent fredonner un air lanscinant,
qui me chante que là où se pose le vent,
ton esprit est passé et a tout transformé.